“À partir de maintenant Lampedusa il en dit assez. LE lampedusani ils sont fatigués, ça suffit pour aujourd’hui. Assez! Ce n’est pas accueil, Lampedusa il ne peut pas accueillir 200 000 migrants. Lampedusa libre”. L’adjoint au maire de l’île, qui porte l’écharpe tricolore, membre de la Ligue du Nord, crie accompagné d’applaudissements Attilio Lucie alors qu’une manifestation contre eux est en cours depuis le matin Arrivées des masses de migrants des derniers jours et notamment contre l’hypothèse d’un nouveau campement de tentes sur l’île. « Le gouvernement doit mettre deux navires au port – continue l’adjoint au maire –. Le maire le réclame depuis 9 mois et répète, Lampedusa doit être contourné.
C’est un gouvernement la faillite
«200.000 immigrants vont venir sur l’île. Nous n’avons pas les infrastructures pour cela», a dénoncé Attilio Lucia, maire adjoint.
«Le gouvernement Meloni veut créer une ville de tentes», a-t-il accusé.
Encore dans l’«extrême droite» contrôlée, Giorgia Meloni, avait juré en 2016 à ses électeurs qu’elle mettrait en place un blocus naval pour empêcher les migrants de «remplacer les Italiens d’origine par des minorités ethniques.»
Une fois au pouvoir, elle a légalisé par décret l’arrivée de 833.000 nouveaux migrants au prétexte de «combler le manque de main d’œuvre», se conformant à l’agenda mondialiste:
En 2018, le «pacte mondial sur les migrations» de l’ONU avait été approuvé à Marrakech afin de «faciliter la mobilité de la main-d’œuvre» dans le monde.
Pour des motifs en fin de compte bien plus «capitalistes» qu’«humanitaires» gauchistes. Et pour créer un «homme nouveau», nomade, déraciné, acculturé et mondialisé à la Attali?
Regard Sur l’Afrique
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