Au Nigeria, alors que l’armée avance indépendamment et accumule les victoires, la force d’occupation se trouve dans une impasse. Après le non du Tchad au G5 Sahel, la coalition ouest-africaine entre le Burkina et la Côte d’Ivoire et le ressaisissement des armées nigérienne et burkinabé, la montée en puissance des forces armées nigérianes est un échec qui ne passe plus pour la force d’occupation…
Après avoir tenté de neutraliser les forces armées nigérianes via des attaques terroristes et ainsi éliminer ces hommes armés qui donnent tout pour sauver leur peuple, le plan B de la force d’occupation consiste à provoquer le désengagement des forces armées, sous prétexte de « perte d’intérêt ».
Alors qu’il y a moins d’une semaine, l’armée nigériane a annoncé avoir formé 1 151 éléments des forces spéciales, dont 9 officiers et 1 142 soldats de son école d’infanterie (NASI) de Jaji, dans l’État de Kaduna, pour combattre l’insurrection et le banditisme, les médias mainstream, annoncent qu’environ 356 soldats des forces armées du Nigeria ont décidé de rendre l’uniforme et de se retirer volontairement de l’armée pour « perte d’intérêt ». Dans leur lettre, les soldats ont indiqué que leur moral était bas et qu’ils ne pouvaient plus continuer le combat.
Un prélude pour un coup d’État militaire ? Une tentative de déstabilisation de plus au sein d’une armée qui agit et avance en coordination avec le gouvernement et bénéficie du soutien de son peuple ?
RSA avec Presstv
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