Actuellement, les Occidentaux veulent se débarrasser de Abiy Ahmed pour le remplacer par une marionnette qu’ils vont manipuler à leur guise.
Depuis la fin de la guerre entre l’Éthiopie et l’Érythrée de mai 1998 à juin 2000. Les deux nations ont décidé de penser à leur avenir après avoir englouti des centaines de millions d’euros, et la perte de plusieurs dizaines de milliers d’hommes tués ou blessés lors du conflit. Cette paix des braves à permis aux deux nations d’enclencher chacune son programme de développement, basé sur l’affirmation de leurs souverainetés respectives vis-à-vis des grandes puissances occidentales. Ces dernières étant les principales bénéficiaires du conflit entre États africains.
La dynamique de paix qui se dégageait dans la région n’était pas du goût des pyromanes qui voyaient mal l’ouverture notamment d’Addis-Abeba à d’autres partenaires tels que le géant chinois. C’est ici que la nouvelle guerre dans le Tigré trouve toutes ses explications. Les affrontements avait comme objectif de déstabiliser l’Ethiopie et de reprendre le contrôle d’Addis Abeba. Le coup de grâce devait permettre au rebelles du TPLF de mettre en pratique leurs déclarés: l’indépendance du Tigré, le démantèlement de l’Etat Amhara et le déclenchement d’une guerre ethnique dans le pays.
Mais la riposte militaire de l’armée éthiopienne sous le commandement du Premier ministre Abiy Ahmed a su rétablir l’ordre et l’état de droit dans la région tigréenne avec une perspective de paix et de stabilité dans toute la région garantie par les gouvernements respectifs. Il faut cependant être vigilant. Car des sources proches de la maison blanche et de Bruxelles indiquent que la nouvelle administration américaine par le canal de Susan Rice a mis en place une stratégie de déstabilisation du gouvernement du prix Nobel de la paix Abiy Ahmed. Les réseaux de Madame Rice utilisant une importante campagne de désinformation financée principalement par les centaines de millions de dollars que le TPLF a réussi à accumuler en pillant les ressources de l’Ethiopie en 27 ans.
Comme c’est très souvent le cas, cette campagne est relayée par des médias importants tel que CNN, BBC, Al Jazeera, France 24, le New York Times et autres médias influents, et par des ONG financées par les lobbies pro-occidentaux. L’objectif est de dramatiser la situation humanitaire au Tigré en accusant les forces armées éthiopiennes et érythréennes de toutes les exactions possibles. Ce qui devrait créer les bases pour une intervention « humanitaire » comme ce fut les cas en Irak et en Lybie. Le non-dit ici, c’est la volonté des américains de changer le cours de l’histoire dans la région en installant leurs valets au sommets des États, avec le risque de répéter les graves erreurs commises contre les peuples irakiens et libyens.
Rappelons que Susan Rice, qui a été pendant de longues années consultante rénumérée du Front Populaire de Libération du Tigré (TPLF).
RSA avec conseilafricaindesmedias
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